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"La leçon" par Eugène Ionesco

letteratura



"La leçon"


par Eugène Ionesco



« Drame comique ». Ionesco veut mettre en evidence le fonctionnement avide du théâtre. Il veut traiter le problème du langage et de la condition humaine.



Autres thèmes:

L'enseignement (pas dans son aspect formal, mais dans son aspect privé);

Le viole de conscience (érotisme);

La science (elle est bonne mais elle peut avoir des conséquences extrèmes).


Structure: un seul act. Le rhytme est donné par les entrées de la Bonne. Il n'y a aucune intervention  de l'exterieur.

Entre les personnages il y a une tension qui augmente et deux mouvements opposés. L'action commence avec l'entrée en scène de l'élève. Elle est attirée dans la maison du prof par sa reputation. Elle a des projets 939i81j ambitieux: elle veut prendre son doctorat totale à trop savoir on peut mourir.

Le prof au commencement est très timide et la présence feminine de l'élève le rend encore plus timide, non à l'aise.

On commence par une leçon d'arithmetique: on voit que le prof a une science à lui. L'élève semble toujours plus angoissée, elle ne comprend pas. Le prof montre sa violence ("Je vous arrache le nez!") et il commence à douter sur les possibilités de l'élève. La Bonne entre et met en garde le prof (jamais l'élève) contre un mal misterieux. Le prof montre une certaine autorité vers la Bonne ("Marie, arrête, je suis majeur!").

La leçon de philologie commence torent de paroles du prof, l'élève ne parle plus, ou elle dit des phrases incomplètes ou insensées. La science du prof est seulement à lui, et il veut la faire passer comme la seule science possible. L'élève commence à se plaindre pour le mal aux dents l'enseignement provoque du mal: "Puissance du verbe sur la chair".

La leçon de linguistique nous fait comprendre l'impossibilité de comuniquer, elle veut faire croire qu'on se comprend, mais en effet on ne se comprend pas.

Nouvelle étape dans la transformation du prof: il se montre un homme de science et au même temps il semble un sauvage. Danse du scalpe: il veut obtenir le scalpe de l'élève il commence à la violer moralement. La danse est le commencement d'un rit sexuel, donc d'un viole aussi physique.


Personnages (3 personnages avec des personalités ambigues qui se revèlent à la fin de la pièce)

G   LE PROF : il passe de l'humilté à la volonté puissante et puis encore à sa timidité et mediocrité initiales. Il est l'incarnation du mal dans sa forme plus hypocrite. Dans ses yeux il y a une « lueur lubrique vite éteinte » ( connotation sexuelle).

Il est « très professeur » il encarne la figure du prof, mais très exaltée : quand il entre dans son rôle il devient doctoral et aussi irritable. Il se proclame homme de science, mais il est homme de sa science. Son enseignement ne se base pas sur la science, mais sur le principe d'autorité.

En suite il devient un robot : il parle d'une façon automatique DÉLIRE (= leçon de linguistique). Il n'accepte pas la moindre interruption. Il est possedé par un démon : cette possession touche le sadisme. Le prof est irresponsable thème de la science dans les mains d'un irresponsable (souvenir de la bombe atomique).


G   L'ÉLÈVE : elle est la victime du prof. Sa transformation est inverse à celle du prof : de sûre d'elle et de son langage elle tombe dans la toile d'araigné du prof ANNIHILATION (« Pauvre chose »). La transformation est aussi celle du langage : elle parle d'une façon répetitive et obsessive (« J'ai mal aux dents »).

LEÇON = SÉDUCTION. Elle est séduite par la science. Séduction = égarement, qui est visible parce qu'elle participe aussi avec son corps (« couteau, mes seins, mon ventre. »). Elle est possedée physiquement par la parole du prof : en effet elle est tuée par un couteau imaginaire, donc par la parole « couteau ».

Pourquoi l'élève n'échappe pas au prof ?

Elle a perdu sa volonté

La victime accepte le viole

On assiste à un viole de l'esprit et du corps de l'élève. Le viole en réalité est fait par la science, par le langage, qui se sont concretisés dans un couteau.


G   LA BONNE : elle pourrait représenter le bon sens, la conscience. Elle se transforme de servante en maîtresse : elle est la personification du mal, elle est plus coupable que le prof bracelet avec la svastika nazi.


« La leçon » représente la séduction du langage. La pièce lance une accusation contre le langage et contre les structures mentales de l'homme (le langage est ce qui est visible des structures mentales). Le langage est le responsable de la destruction de l'être.

Aspect comique : il utilise les jeux de mots. La comicité se trouve dans le contraste (le iatus) entre la parole et le réel.

Ionesco veut créer une situation où la comunication n'existe presque plus comunication par intermittence. À la fin elle n'existe plus parce que l'élève oppose au prof une référence solide = le mal aux dents. Cette situation se repète toujours : dans notre vie nous ne pouvons plus nous comprendre.

Page de pre text : elle casse la structure classique du théâtre et sert à nous faire remarquer la transformation des personnages.

Ce qui interesse n'est pas l'action, mais les paroles. Pouvoir créateur de la mise en scène : la scène est banale pour nous faire remarquer les mots. L'acteur n'a pas la libre interpretation du personnage, mais il suit un parcours déjà fixé, comme dans la vie.

Coté sensuelle, qui existe comme dans la vie de tous. L'élève est l'incarnation de cet aspect ( les jambes ouvertes à la fin). Autres éléments :

Danse du scalpe

Hurlement contemporain du prof et de l'élève (le climax a été rejoint)

Le prof regrette une periode de sa vie, le service militaire, où l'être est annihili.

L'homme doit seulement obeyr à des mots.

Délire du prof torent de paroles. Personne ne peut l'arrêter, ni l'élève, ni la Bonne. Délire =

Alienation donnée par les mots. Ce qui est important est de parler vanité du langage et ridiculisation du prof : le langage est une tiranie qui gouverne le prof (=les êtres humains).

Excitement du prof : il ne reconnaît pas le mal aux dents de l'élève, donc il ne reconnaît pas la réalité. Il ajoute aussi un autre mal (il lui tord le poignet), il la brutalise. Il veux éfasser la volonté de l'élève, et il y arrive. (« Je.vous.écoute. »).

Le couteau peut être réel ou imaginaire signification fallique du couteau. On choisit le couteau imaginaire parce que ce qui est important est le mot. L'élève dit couteau elle mort.

Le prof détient le pouvoir, donc il est celui qui conduit la cérimonie sacrée où les mots prennent une signification différente : la comunication n'est plus au service de l'homme, mais elle est l'instrument de la cérimonie, elle s'est arrogée des droits qui ne sont pas réels. « Le couteau tue » : le mot s'identifie avec la réalité.

Couteau objet = couteau mot = couteau action.






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